ARY Traducciones, S.L.


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Historique

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Historique d’ARY Traducciones s.l.

ARY Traducciones/ Translations s.l a été créée en 1995 par deux amies, Jenni Hymoff Koeppel et Ana Rial Ybáñez.

Lorsque nous avons crée cette entreprise, nous avions l’intention de mettre en commun nos expériences professionnelles et personnelles, en créant notre propre entreprise dans notre commune, où nous résidons et où nous aimons vivre, malgré ses lacunes. Le défi était celui d’améliorer la qualité de vie de notre entourage.
Nous avons remarqué un manque professionnel dans le domaine de la traduction ainsi qu’un manque de repères parmi la population étrangère qui réside ici pour différentes raisons, professionnelles, de santé, etc.

Nous bénéficions d’un des meilleurs climats du monde, ce qui attire des touristes de toute provenance et de différentes nationalités, expliquant ainsi le besoin croissant de nous comprendre mutuellement......

C’est ainsi qu’a commencé l’aventure de devenir des entrepreneurs indépendants, mais commençons par le début.....

ARY Traducciones est situé dans le sud-ouest de l’île de Gran Canaria, en Espagne, et plus précisément dans le village d’Arguineguín, qui fait partie de la commune de Mogán.

Jenni et moi nous nous sommes connues dans cette même commune lorsque nous n’avions que 10 ans. Jenni est d’origine étrangère (de nationalité américaine, de père russe et mère allemande), de parents écrivains et correspondant de guerre, elle a voyagé depuis son plus jeune âge et a habité dans plusieurs pays du monde. Et moi, Ana, de nationalité espagnole, née à Barcelone, j’ai grandi aux Canaries, mais ayant dans le sang un mélange de plusieurs régions espagnoles; de père voyageur (il était marin de la marine marchande) qui nous emmenait partout et partageait ses amis de n’importe quelle nationalité avec sa famille; c’est lui qui m’a transmis son amour pour les voyages et l’envie de connaître le monde, d’autres gens et cultures. J’ai grandi dans le milieu des affaires puisque toute ma famille a travaillé dans le secteur hôtelier, c’est pourquoi le restaurant était presque notre maison car c’était l’endroit où la famille passait le plus de temps.

Jenni et moi avions l’habitude de jouer avec des enfants de plusieurs nationalités, nous étions souvent en contact avec différentes cultures, avions l’habitude de voyager et d’observer d’autres traditions lorsque nous étions invitées chez nos amis, ainsi que lorsque nous recevions chez nous des amis d’autres pays; c’est l’éducation que nous avons reçue de nos familles.

Malgré le fait qu’aucune de nous deux soit née dans cette commune, ni dans cette île, nous avons grandi ici et vu comment les choses ont changé................ Nous sommes parties pour étudier à l’étranger, pour travailler et vivre ailleurs pendant un certain temps, mais nous sommes toujours revenues car nous nous y plaisons. Et lorsque nous sommes devenues adultes nous avons décidé de nous y établir.

Lorsque nous étions enfants, Arguineguín était un charmant village de pêcheurs, il y avait seulement un complexe touristique d’appartements dans la zone haute Los Canarios I (aujourd’hui une copropriété qui fait régulièrement appel à nos services) où nous avions l’habitude de jouer dans les jardins et la piscine. C’est là que nous nous sommes connues, Jenni vivait en face (et y vit actuellement) et moi, Ana, venais y passer les week-ends et mes vacances.

Plus tard j’ai aussi déménagé pour aller habiter à Arguineguín et c’est ici que j’ai commencé mes études.
Dans toute l’école, qui était formée par un petit nombre de salles de classe avec le logement du professeur à côté, on n’était que trois filles à ne pas être du village et, de plus, même pas canariennes; seulement une de nous était à moitié allemande. Nous étions l’oiseau rare de l’école.

Si je cite ces exemples c’est par ce qu’ils reflètent le changement de ce village de pêcheurs et de toute la commune, sans compter ce que je vais vous raconter ci-après. Il y a quelques années, j’ai fait partie du conseil de classe d’une des deux plus grandes écoles d’Arguineguín, (aujourd’hui nous avons même un lycée) en tant que représentant des parents et un programme interculturel très intéressant avait été mis en place pour que les enfants puissent apprendre à vivre avec d’autres cultures et j’avais demandé combien de nationalités il y avait à l’époque dans cette école, il y en avait pas moins de 16.

En 2006, un professeur m’a informé que dans sa classe il y a déjà 23 nationalités différentes et dans toute l’école des enfants de toutes les régions espagnoles bien sûr, c’est alors que je me suis rappelée de l’époque où j’étais un drôle d’oiseau pour le simple fait d’être de Barcelone.

Dans le temps on vivait de la pêche et de l’agriculture, surtout de la tomate et de la banane. Le tourisme était plutôt limité à la zone de Puerto Rico et de Playa de Patalavaca.
Aujourd’hui, Mogán est une commune essentiellement touristique, lieu de villégiature pour des gens provenant du monde entier. L’ancien port de pêcheurs de Mogán ressemble aujourd’hui à une petite Venise.
Il y a dans cette commune des commerces en tout genre et l’offre hôtelière est très vaste, 47.000 lits, avec 50.000 lits supplémentaires prévus pour les 15 années à venir.
Il y a 25.000 résidents et une population variable de 70.000 personnes.
C’est pour cette raison que des personnes de toutes les nationalités viennent y habiter et travailler, seules ou avec leurs familles. Ces personnes ont leurs exigences et doivent faire face à des difficultés pour s’adapter tant qu’elles ne maîtrisent pas la langue et n’apprennent pas à se familiariser avec les démarches administratives, pour obtenir des documents, etc.

Connaissant bien cette commune, ses problèmes, ses exigences et ses caractéristiques, non seulement pour le fait d’y habiter, mais pour avoir aussi assumé des responsabilités pendant plusieurs années dans les rapports entre les citoyens et l’administration, les associations locales, la fédération et la confédération espagnole des associations locales, avec de l’expérience en gestion, administration, étc., ayant assumé des tâches de secrétariat, de présidence et de porte-parole vis-à-vis des moyens de communication et l’administration, ainsi que des hommes politiques élus. Nous étions convaincues qu’en associant cette expérience personnelle à l’expérience professionnelle dans le domaine des langues, de la restauration.... etc, nous pourrions couvrir ce manque dans le domaine de la traduction, si nécessaire actuellement, surtout dans une commune comme la nôtre; c’est pourquoi nous avons décidé de créer une bureau de traduction avec le plus grand nombre de langues possible. C’est ainsi qu’est née ARY Traducciones s.l., avec Jenni chargée des langues et des traducteurs et Ana de l’administration et des autres procédures.

Nous avons pris contact avec des professionnels de différentes nationalités qui travaillent avec nous depuis plusieurs années, qui traduisent toujours vers leur langue maternelle et qui connaissent nos clients, et nous veillons à ce que ce soient toujours les mêmes professionnels qui traitent avec les même clients, c’est un système qui marche bien et nos clients en sont satisfaits.

Jenni et moi avons travaillé ensemble sur plusieurs projets, nous nous sommes embarquées dans plusieurs aventures, dont ARY Traducciones, qui dure depuis plus de dix ans.

Nous nous sommes toujours appréciées et respectées, nous sommes des personnes responsables, incapables de décevoir volontairement l’autre, c’est pourquoi aujourd’hui nous sommes associées, notre société a réussi et nous sommes convaincues que cette bonne entente ne passe pas inaperçue dans l’attention que reçoivent nos clients.

ARY






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Ana Rial Ybáñez
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